Afin de faciliter l'accès à l'information, ABioDoc réalise des documents de synthèse à partir de son fonds documentaire ou à partir de recherches plus larges pouvant inclure des informations provenant d'autres bases de données, du réseau de partenaires ou de sites Internet.
Webinaire LTNM - Alternatives aux intrants controversés en bio (projet OrganicPLUS)
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Retrouvez dans cette section les compilations et listes bibliographiques éditées par ABioDoc :
L’objet du Réseau Mixte Technologique "Développement de l’Agriculture Biologique" (RMT DevAB) est d’identifier des stratégies de développement du mode de production biologique et d’organiser la diffusion des connaissances produites dans ce cadre vers l’ensemble de l’agriculture. La proposition repose sur l’idée d’une meilleure
compréhension des enjeux de l’agriculture biologique (AB), partagée par des partenaires engagés dans des actions de recherche, de formation et de développement liées à l’AB.
L’enjeu est de constituer un réseau de compétences ayant une reconnaissance sur les questions spécifiques à l’AB. Ce réseau permettra l’élaboration de projets intégrateurs pour l’AB et de développer la visibilité européenne de la France.
Les actions portent sur les 4 axes suivants :
La présente compilation bibliographique s’inscrit dans le deuxième axe de travail, dont les objectifs au cours des 18 prochains mois sont l’élaboration d’une synthèse, la mise
en marche d’un collectif de travail et la préparation à l’élaboration de projets de recherche-développement sur les interrelations entre agriculture biologique et environnement. Des actions seront ainsi menées pour :
Cette liste bibliographique a été réalisée non seulement à partir de la consultation de la base de données BioBase d’AbioDoc, mais également de l’ensemble de la base de
données documentaire de l’ENITA de Clermont-Ferrand.
L’objectif de la recherche était d’identifier des références sur des thèmes très variés, afin de faire ressortir un maximum d’éléments. La recherche a donc été menée de
manière très large sur les notices ayant pour mot-clef ou pour thème l’agriculture et l’environnement, soit environ 550 références de janvier 2001 à septembre 2008, avec
l’ajout de documents de référence, antérieurs à 2001.
Pour certains thèmes et sous-thèmes, le mode de recherche n’a fait ressortir que quelques notices illustratives sur des sujets qui demanderaient une recherche à part entière. Des recherches plus approfondies et spécifiques pourraient ainsi être réalisées par la suite en fonction des besoins (Principes et historique de l’AB, maîtrise des adventices, conduite sanitaire des troupeaux…).
Des recherches plus spécifiques ont néanmoins déjà été menées sur les thématiques suivantes :
Les notices dont le contenu a été jugé pertinent dans le cadre de l’axe de travail « Agriculture biologique et environnement » du RMT DevAB ont été retenues, puis classées selon les thématiques spécifiées par le groupe de travail. Certains sous-thèmes n’ont pas été inclus car aucun article n’y faisait référence. Au contraire, d’autres thèmes ont été ajoutés (Mesures et politiques agroenvironnementales, agriculture et changement climatique, systèmes de traitement des eaux usagées agricoles…) pour classer de nombreuses notices qui y faisaient référence.
Les notices relatives à plusieurs thèmes n’ont été placées que dans le chapitre jugé le plus approprié, ceci afin d’éviter les doublons. Par ailleurs, du fait du processus initial de sélection, les notices sont classées principalement par ordre chronologique.
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A l’occasion de la COP 21 (Conférence parisienne des nations Unies sur le Climat), ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, vous propose un hors-série de sa revue bibliographique Biopresse consacré au changement climatique.
Ce hors-série est composé de références bibliographiques extraites de la Biobase, la seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique.
La recherche a été effectuée sur les mots-clés « changement climatique » et « réchauffement climatique », et sur des dates supérieures ou égales à 2007 (329 résultats). Cependant, d’autres résultats sont accessibles, plus anciens ou avec les mots-clés « aléa climatique » ou « sécheresse » par exemple. Vous pouvez aussi trouver en accès libre dans la Biobase (http://abiodoc.docressources.fr/opac/) des références sur l’autonomie alimentaire en élevage, les mélanges céréales protéagineux, les prairies à flore variée, la permaculture, etc.
Par ailleurs, vous pouvez aussi vous abonner gratuitement pour recevoir chaque mois la revue Biopresse au format pdf sur : http://www.abiodoc.com/biopresse-actualite-bibliographique-agriculture-biologique.
Et pour consulter les interventions et les posters du premier colloque portant sur « Agriculture biologique et changement climatique », organisé en 2008 à VetAgro Sup, rendez-vous sur : http://www.abiodoc.com/documents-abiodoc/evenements/colloque-agriculture-biologique-changement-climatique.
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L’ITAB, en lien avec tous ses partenaires, contribue à valoriser les références concernant l’agriculture biologique, qu’elles soient techniques, environnementales, sociales ou économiques.
A la demande du Ministère de l’Agriculture et en vue d’identifier les travaux produits par les différents acteurs de la recherche et du développement, producteurs de références technico-économiques en agriculture biologique, l’ITAB a sollicité ABioDoc pour une extraction de sa base de données documentaire spécialisée en AB, la Biobase sur cette thématique.
En se focalisant sur les dix dernières années (2008-2017), cette requête basée sur 16 mots clés (marge brute, coût de production, excédent brut d’exploitation, référence technico-économique, durabilité économique, …) a conduit à l’obtention de quelques 700 notices. Ces dernières ont été regroupées dans cette compilation et catégorisées par systèmes de production (bovin lait, porcin, maraîchage...).
Sommaire de la compilation bibliographique: |
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Productions Animales
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Productions Végétales
Multi-Productions
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Cette liste bibliographique a été élaborée en 2004 par ABioDoc et présente 50 références bibliographiques sur l'élevage de poules pondeuses en agriculture biologique.
Exemples de thèmes traités:
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Le projet BioViandes Massif Central est un projet multipartenaire ayant pour objectif général le développement de filières de viandes bovines (allaitantes principalement) et ovines biologiques valorisant les ressources du Massif Central, tout particulièrement l’herbe, tout en contribuant au développement de ce territoire. (En savoir plus : https://m1p.fr/IXk).
Dans le cadre de ce projet, ABioDoc, Centre national de ressources en agriculture biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le ministère de l’agriculture, a réalisé une extraction de sa base de données documentaire spécialisée en AB, la Biobase (http://abiodoc.docressources.fr/) sur la finition majoritairement à l’herbe des ovins et bovins en AB.
Cette compilation de références bibliographiques a pour objectif d’apporter une vision générale des pratiques existantes. A cette fin, seuls les systèmes herbagers voire tout à l’herbe, finissant leurs animaux avec peu ou pas de concentrés ont été retenus ; ainsi que des documents connexes abordant des problématiques liées aux filières et à la recherche.
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Cette recherche bibliographique s’inscrit dans le projet CedABio, financé par le ministère de l’Agriculture dans le cadre de l’Appel à projets d’innovation et de partenariat 2008 et intitulé : « Contributions environnementales et durabilité socio-économique des systèmes d’élevages bovins biologiques ».
L’Institut de l’élevage est l’organisme chef de file du projet, avec Jérôme Pavie en tant que chef de projet.
Le projet cedABio a pour objectif central d’évaluer les bénéfices environnementaux pouvant être attendus pour des systèmes d’élevages bovins lait et viande qui feraient une conversion biologique. Il se propose également d’explorer comparativement les systèmes biologiques et conventionnels sur les autres dimensions de la durabilité : dimensions économiques et sociales (notamment travail).
Pour évaluer l’impact socio-économique d’une augmentation des fermes en agriculture biologique sur un territoire, nous avons interrogé la base de données d’ABioDoc de plusieurs façons.
Nous avons tout d’abord commencé par une approche sociale, qui s’apparentait à différents mots clés : social, société, agriculture sociale, agriculture et société, durabilité socio-territoriale… Nous avons ensuite interrogé la base de façon large avec une approche « bovin – vache – ruminant ». Nous avons alors plus particulièrement sélectionné les notices en lien avec le travail, l’organisation sociale et les cas concrets (conversion, installation, choix originaux…). Ensuite, nous avons affiné notre travail avec des requêtes plus précises et concernant des termes tels que « emploi », « développement rural », « territoire »…
Au cours de notre recherche, nous avons choisi de proposer quelques références sur l’impact de l’agriculture biologique sur l’environnement, afin d’appuyer ou de comparer les données qui seront analysées dans le cadre du projet CedABio.
Pour chaque notice identifiée, nous nous sommes interrogées sur son opportunité dans le cadre de la question posée : pouvions-nous considérer que cette information relevait d’un impact de la présence de fermes en agriculture biologique sur les aspects sociaux et/ou économiques ? Ainsi, nous avons estimé de quelle manière, à notre avis, le sujet pouvait se comprendre et se décliner, afin de démarrer la réflexion qui devra aboutir à fixer des indicateurs pertinents pour le projet CedABio. Afin de ne pas omettre des points utiles, nous avons sélectionné de façon assez large, parfois en marge du sujet.
Nous avons par ailleurs considéré que l’impact de l’agriculture biologique sur un territoire ne s’arrêtait pas aux seules fermes mais concernait toutes les initiatives d’organismes en lien avec l’agriculture biologique (commerce équitable, agriculture sociale, insertion, groupement d’achat, banque coopérative…), se basant sur une production agricole ou non. Cependant, du fait de la quantité de réponses dans ce domaine, nous avons basé l’essentiel de cette recherche précise sur 2007, 2008 et 2009, alors que, pour le reste, nous avons interrogé la base de données principalement sur les années 2004 à 2009.
Les notices ont été classées au fur et à mesure de la sélection dans des paniers thématiques, retravaillés par la suite pour aboutir à la sélection et à la présentation cijointe.
Chaque thème n’est pas traité de façon exhaustive, l’intérêt de l’étude bibliographique étant essentiellement de donner des pistes de réflexion.
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La présente compilation bibliographique s’inscrit dans le premier axe de travail du RMT DevAB, dont l’objectif est d’accompagner l’AB comme mode de production innovant et performant pour l’ensemble de l’agriculture.
Pour ceci, un premier objectif consiste à définir un cadre d’analyse de l’évolution de l’agriculture biologique en France et en Europe, permettant de contextualiser des innovations en AB. Le second objectif, dans lequel s’intègre ce travail, cherche à caractériser des systèmes de production et les clés de leur réussite, ceci par :
Cette liste bibliographique a été réalisée à partir de la base de donnée documentaire BioBase d’AbioDoc. La base n’ayant pas de critère permettant d’identifier les innovations, la recherche a été conduite de manière très large sur les notices ayant pour mot-clef ou thème les grandes cultures ou les céréales, soit environ 1600 références de décembre 1999 à septembre 2008. Furent ensuite retenues celles dont le contenu a été jugé pertinent dans le cadre de la recherche d’innovations en agriculture biologique, tant sur le plan technique, qu’économique ou social et aussi bien à l’échelle de la parcelle, que de la ferme ou du territoire. Ces notices ont ensuite été classées selon les thématiques qui émergeaient de l’ensemble des références sélectionnées. Le plan ainsi élaboré facilite l’identification et le repérage des différentes catégories d’innovations. Cependant, il ne représente pas l’aboutissement d’une réflexion globale sur l’innovation en grandes cultures et pourrait être modifié en fonction des approches de chacun. De plus, beaucoup de notices sont relatives à plusieurs thèmes, comme c’est l’écueil de nombreuses classifications documentaires, notamment en agriculture. Elles n’ont toutefois été placées que dans le chapitre jugé le plus approprié, ceci afin éviter les doublons. Par ailleurs, du fait du processus initial de sélection, les notices sont classées principalement par ordre chronologique. Pour certains thèmes à la marge du choix principal, le choix a été fait de n’indiquer que quelques notices
permettant d’identifier un type d’innovation, mais des recherches plus approfondies pourraient être réalisées par la suite. Enfin, il faut prendre en compte que la base de données d’ABioDoc n’est pas exclusivement réservée aux données issues de l’agriculture biologique mais contient également des données provenant de l’agriculture conventionnelle et durable, transférables et intéressantes pour l’agriculture biologique. Certaines de ces données seront ainsi citées dans la présente bibliographie et identifiées avec le sigle NB à la fin du titre de la notice.
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Références bibliographiques issues de la Biobase et sélectionnées pour le Séminaire International de l’Agence Bio
Cette sélection bibliographique est proposée dans le cadre du Séminaire International de l’Agence Bio « L’alimentation bio dans le monde : au cœur des territoires, saine et accessible » du 29 mars 2018 à Paris.
Elle a été réalisée principalement à partir de la Biobase, la seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique, gérée par ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le ministère de l’Agriculture.
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Cette revue bibliographique sur la Filière Viande Biologique a été réalisée et éditée par ABioDoc, le Centre National de Ressources en Agriculture Biologique, dans le cadre du projet « Développement des filières biologiques du Massif Central pour répondre aux besoins de la restauration collective », porté par le Pôle AB Massif Central. Elle regroupe 251 références bibliographiques (articles, ouvrages, brochures, documents audiovisuels, …) en lien avec la Filière Viande Biologique inscrites dans la base documentaire d’ABioDoc, la Biobase, à la date du 15 mars 2011. Pour chacune de ces références, sont précisés le titre, le ou les auteurs, la date d’édition, la revue de laquelle l’article est issu ou l’éditeur du document, le nombre de pages, et un résumé. Quand il existe, le lien pour un téléchargement sur Internet est également indiqué.
Au sein de chacun de ces grands thèmes, les références sont triées par date d’édition, dans l’ordre anti chronologique (du plus récent au plus ancien).
Les références qui traitent de l’élevage n’ont pas été prises en compte, en raison de leur trop grand nombre. Les notices qui les concernent sont bien sûr consultables dans la Biobase, et elles sont publiées chaque mois dans le chapitre « ELEVAGE » du Biopresse (revue bibliographique accessible par abonnement).
La plupart des références présentées dans cette liste bibliographique sont disponibles auprès d’ABioDoc (commande de photocopies ou prêt d’ouvrages).
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Dans le Massif Central, pour toutes les filières d’élevage, les prairies temporaires à flore variée (PFV) et les cultures fourragères d’appoint (CFA) sont essentielles, en particulier en agriculture biologique. Leurs atouts sont divers : limitation de la sur-utilisation des prairies naturelles et de l’achat d’aliments, sécurisation de l’alimentation, outil d’adaptation face aux aléas climatiques ou productivité avec un recours réduit aux intrants. Cependant, à l’échelle du Massif-Central, les contextes pédo-climatiques, les modes et les objectifs de production sont trop divers pour qu’il existe une solution technique généralisable. De plus, les aléas climatiques complexifient le choix de mélanges à mettre en œuvre et hypothèquent la pérennité de PFV.
Face à ce constat, le projet Mélibio développe une approche novatrice, basée sur la nécessité de revaloriser les acquis (notamment l’expérience des agriculteurs, des techniciens ou des chercheurs) à travers un cadre global d’analyse et sur le besoin de développer les processus d’échanges d’expérience, le tout en s’intégrant dans une démarche de mutualisation à l’échelle du Massif Central. Ainsi, ce projet mené en agriculture biologique a 5 grands objectifs opérationnels : i) caractériser les innovations en termes de PFV et CFA, ii) développer et diffuser un outil informatique d’aide à la conception de mélanges fourragers, iii) définir les itinéraires techniques d’implantation optimaux des PVF et CFA, iv) mettre en place un réseau durable d’échange d’expériences, soutenu par un outil informatique WEB de gestion et diffusion des connaissances et v) optimiser la valorisation des résultats par un panel élargi d’outils (dont des outils pédagogiques et de formation - Point notamment facilité par l’implication de lycées agricoles).
Ce projet touche un domaine essentiel pour le développement de l’AB sur le Massif Central mais ses résultats seront aussi pertinents pour l’agriculture conventionnelle d’où une valorisation élargie. Par ailleurs, la création et la diffusion d’un outil d’aide à la conception de mélanges fourragers sera un atout pour les professionnels pour faire évoluer leurs pratiques culturales selon leurs besoins et leurs contingences, d’où une sécurisation des systèmes et plus d’autonomie. Autre résultat : le développement d’un réseau d’apprentissage incluant un outil informatique de gestion des connaissances web (outil type WIKI). Ce genre d’outil n’est à ce jour pas utilisé en agriculture et sera un atout pour favoriser l’usage des TICs et la mutualisation à l’échelle du Massif Central. Un tel outil pourrait être étendu à d’autres thématiques. Enfin, la volonté de faire de ce projet un support pédagogique pour la formation initiale contribuera à l’enseignement de l’AB.
Les partenaires de ce projet sont : l’Inra Toulouse, l’Irstea Clermont, ARVALIS, l’Association Vétérinaires Eleveurs du Millavois (AVEM), les Chambres d’agriculture de l’Aveyron, de la Corrèze, du Tarn, la Chambre régionale d’agriculture de Midi-Pyrénées, l’ITAB, l’EPLEFPA de Tulle-Naves, le LPA de Rochefort-Montagne, le Service d’Eco Développement Agrobiologique et Rural de Bourgogne (SEDARB) et ABioDoc-VetAgro Sup.
La recherche bibliographique a été réalisée à partir de la Biobase, la base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique et gérée par ABioDoc. La Biobase contient une majorité d’articles techniques, issus de revues liées à l’agriculture, à l’agroalimentaire, au développement rural ou à l’environnement, spécialisée ou non en agriculture biologique. Elle contient également des actes de colloques, des ouvrages, des brochures, des fiches techniques…
La recherche bibliographique liée aux cultures fourragères annuelles dans le cadre du projet Mélibio a été conduite en plusieurs étapes.
La première a consisté à interroger la Biobase avec l’approche « culture fourragère annuelle ». 14 réponses correspondaient, en juillet 2012, au mot-clé « culture fourragère annuelle », et ont constitué un premier panier documentaire (ensemble de références). A noter que ce mot-clé a été créé récemment, à la suite du démarrage du projet Mélibio auquel participe ABioDoc.
Ce nombre de réponses étant relativement faible, nous avons ouvert la recherche. Ainsi, des paniers documentaires ont été créés pour les principales espèces utilisées comme cultures fourragères annuelles, à partir de requêtes documentaires renseignées de la façon suivante :
Certaines références concernaient parfois plusieurs cultures différentes. Elles ont alors été intégrées au chapitre « Les cultures fourragères annuelles ». Ceci explique d’ailleurs l’absence de chapitre spécifique au moha et au millet dans cette compilation, les références abordant ces thématiques n’étant pas spécifiques, elles ont été placées dans le chapitre plus général.
Pour chacun des chapitres, les références, classées par ordre chronologique (du plus récent au plus ancien), peuvent concerner les itinéraires culturaux, l’utilisation de ces fourrages dans les rations des élevages de ruminants, leurs valeurs nutritives. Elles peuvent également présenter des témoignages d’agriculteurs ou de techniciens mettant en place ce type de cultures, ou des résultats de travaux de recherche.
Accès aux documents primaires : Tous les documents cités dans cette bibliographie sont accessibles à ABioDoc et la plupart peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages).
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Cette bibliographie a été réalisée à partir de la base de données documentaire Biobase, seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique, gérée par ABioDoc et accessible librement à l’adresse suivante : http://abiodoc.docressources.fr/. ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le ministère de l’Agriculture, a effectué ce travail dans le cadre du projet de recherche Mélibio (« Comment valoriser la diversité des espèces, des variétés fourragères et des pratiques culturales en AB pour sécuriser les systèmes d’alimentation des ruminants du Massif Central »), financé dans le cadre de la convention de Massif-Massif Central (CGET) et porté par le Pôle Agriculture biologique Massif Central.
Pour en savoir plus sur le projet Mélibio : https://poleabmc.org/contenu/presentation-du-projet-melibio
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Dans le Massif Central, pour toutes les filières d’élevage, les prairies temporaires à flore variée (PFV) et les cultures fourragères d’appoint (CFA) sont essentielles, en particulier en agriculture biologique. Leurs atouts sont divers : limitation de la sur-utilisation des prairies naturelles et de l’achat d’aliments, sécurisation de l’alimentation, outil d’adaptation face aux aléas climatiques ou productivité avec un recours réduit aux intrants. Cependant, à l’échelle du Massif-Central, les contextes pédo-climatiques, les modes et les objectifs de production sont trop divers pour qu’il existe une solution technique généralisable. De plus, les aléas climatiques complexifient le choix de mélanges à mettre en oeuvre et hypothèquent la pérennité de PFV.
Face à ce constat, le projet Mélibio développe une approche novatrice, basée sur la nécessité de revaloriser les acquis (notamment l’expérience des agriculteurs, des techniciens ou des chercheurs) à travers un cadre global d’analyse et sur le besoin de développer les processus d’échanges d’expérience, le tout en s’intégrant dans une démarche de mutualisation à l’échelle du Massif Central. Ainsi, ce projet mené en agriculture biologique a 5 grands objectifs opérationnels :
Ce projet touche un domaine essentiel pour le développement de l’AB sur le Massif Central mais ses résultats seront aussi pertinents pour l’agriculture conventionnelle d’où une valorisation élargie. Par ailleurs, la création et la diffusion d’un outil d’aide à la conception de mélanges fourragers sera un atout pour les professionnels pour faire évoluer leurs pratiques culturales selon leurs besoins et leurs contingences, d’où une sécurisation des systèmes et plus d’autonomie. Autre résultat : le développement d’un réseau d’apprentissage incluant un outil informatique de gestion des connaissances web (outil type WIKI). Ce genre d’outil n’est à ce jour pas utilisé en agriculture et sera un atout pour favoriser l’usage des TICs et la mutualisation à l’échelle du Massif Central. Un tel outil pourrait être étendu à d’autres thématiques. Enfin, la volonté de faire de ce projet un support pédagogique pour la formation initiale contribuera à l’enseignement de l’AB.
La recherche bibliographique a été réalisée à partir de la Biobase, la base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique et gérée par ABioDoc. La Biobase contient une majorité d’articles techniques, issus de revues liées à l’agriculture, à l’agroalimentaire, au développement rural ou à l’environnement, spécialisée ou non en agriculture biologique. Elle contient également des actes de colloques, des ouvrages, des brochures, des fiches techniques…
La recherche bibliographique liée à Mélibio a été conduite en plusieurs étapes. La première a consisté à interroger la Biobase avec l’approche « prairie à flore variée », mot-clé qui comprend les termes : prairie multi-espèce ou prairie multi spécifique.
62 réponses correspondaient, en janvier 2012, au mot-clé « prairie à flore variée ». Nous les avons listées une à une, en tentant de les classer dans différents « paniers » documentaires : composition, adventices, autonomie, environnement, implantation et sécheresse. Le classement a été particulièrement difficile car différents thèmes sont souvent présents pour une même référence. Certains thèmes peuvent être intimement liés tels que « sécheresse », « composition de la prairie et choix des espèces » et
« autonomie » car les objectifs se recoupent. C’est pourquoi il est important que le lecteur ne se focalise pas sur un chapitre mais consulte l’ensemble des données pour s’informer sur le sujet.
La plupart des références liées à ce mot-clé ont surtout été classées dans le thème « composition ». Beaucoup de références concernent la Ferme de Thorigné d’Anjou ou celles des Bordes, d’autres sont liées à des actions auxquelles participent des membres du projet (projet Diverba…). Cela prouve que les spécialistes des prairies à flore variée présents sur le Massif Central participent au projet Mélibio.
Ainsi, nous avons choisi d’ouvrir la recherche afin de mieux répondre aux thèmes identifiés lors des contacts préalables à la bibliographie réalisés avec Mathieu Capitaine et Laurent Hazard, notamment par rapport à l’implantation (semis sous couvert…) et à la conduite des prairies (régénération de prairies dégradées…). Ces thèmes pourront être utilisés dans le cadre du projet Mélibio et/ou dans le cadre de travail de terrain réalisé par les partenaires du projet (conseil, suivi expérimental…).
Nous avons donc étudié les notices bibliographiques référencées sous d’autres thèmes, en interrogeant différents mots-clés : « prairie dégradée », « prairie fleurie », « retournement de prairie », « espèce prairiale » et « légumineuse prairiale ». Nous avons aussi croisé les interrogations : « semence » ET « prairie » ; « implantation » ET « prairie ».
Ainsi, les références que nous avons sélectionnées lors de ces recherches ne sont pas spécifiques aux prairies à flore variée mais peuvent répondre à des préoccupations liées à ce type de prairies. Nous avons créé deux nouveaux paniers : « conduite » et « complément ». Le deuxième panier comportait des notices bibliographiques obtenues au cours de la recherche mais anecdotiques par rapport au projet (prairies à flore variée pour les lapins) ou des références identifiées par les membres d’ABioDoc comme pouvant être utile dans le cadre du projet (livre sur la Flore pour le modèle Inra).
Tous les documents cités dans cette bibliographie sont accessibles à ABioDoc et la plupart peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les
ouvrages). Certaines fiches Biodoc de Joseph Pousset, citées dans la bibliographie, sont téléchargeables depuis le site de Bio Normandie : http://www.bio-normandie.org/?page_id=1282
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En 2019, dans le cadre du projet européen Organic-PLUS (2018-2021, https://organic-plus.net), ABioDoc a été amené à enrichir la base de données Organic Eprints, la base de données documentaire européenne dédiée à la recherche et à l'expérimentation en Agriculture Biologique (https://orgprints.org).
Vous trouverez dans ce document la liste des liens correspondant aux 24 articles indexés. Ils traitent d'alternatives à l'utilisation d'intrants pouvant être considérés comme litigieux en Agriculture Biologique (ex : alternatives à l'utilisation de paillage plastique pour lutter contre les adventices, de cuivre pour lutter contre le mildiou, de traitements allopathiques pour lutter contre des maladies...). Ces documents sont principalement des documents édités par l'Institut Technique de l'Agriculture Biologique.
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Lauréat de l’appel à projets CasDar 2014, le projet Optialibio vise à optimiser l’autonomie et renforcer la résistance des élevages bovins face aux aléas climatiques. Rassemblés autour de l’expertise collective, de nombreux partenaires sont associés à ce programme piloté par l’Institut de l’Elevage, parmi lesquels l’Itab, l’Inra, Le Pôle AB Massif Central, VetAgro Sup et son service ABioDoc, des Chambres d’agriculture, des fermes et des stations expérimentales, la Frab Bretagne et le Gab 22, la SA Biolait et Stonyfield France.
Ce projet poursuit l’objectif d’apporter des réponses techniques aux problèmes d’autonomie et d’équilibre alimentaire que rencontrent les élevages biologiques bovins lait et viande. Contrairement à une idée très répandue, la conduite sanitaire n’est pas le point le plus délicat de la conversion. En revanche, celle-ci implique un ajustement très précis des surfaces cultivables (fourrages et cultures) pour l’acquisition d’un nouvel équilibre alimentaire à partir d’une conduite plus agronomique du système. Souvent sous-estimés avant la conversion, ces problèmes apparaissent rapidement prioritaires en période post-conversion lorsque le système se recompose. Pour nombre d’exploitations, ils persistent longtemps après les années de conversion. Les problèmes rencontrés vont de la constitution de stocks suffisants à l’équilibre des rations (disponibilité en concentrés) en passant par la qualité ou la diversité des fourrages proposés, la proportion ou la nature des concentrés disponibles ou encore le niveau d’autonomie en protéines.
Les suivis de fermes biologiques, notamment dans le cadre de réseaux de références, mais également les observations en stations expérimentales ont mis en évidence une forte sensibilité aux aléas climatiques, avec de moindres capacités de compensation (coût élevé des achats d’aliments et/ou fourrages, limitation des intrants sur les prairies et cultures…) que les systèmes conventionnels. Les impacts sont rapidement mesurables, notamment sur les volumes de production : baisse de production laitière, réduction des croissances animales, chute des performances de reproduction (moindre fécondité, augmentation des IVV), pertes de poids des carcasses. Ces conditions fragilisent les résultats économiques, même si les systèmes biologiques montrent souvent une meilleure flexibilité que leurs homologues conventionnels, en acceptant des variations de volumes et en résistant mieux aux conséquences économiques.
Le projet vise cinq objectifs généraux :
L’autonomie alimentaire sera appréhendée, dans le projet, sous l’angle de l’autonomie en fourrages et en aliments concentrés (énergétiques et protéiques).
La recherche bibliographique a été réalisée en février 2015 à partir de la Biobase, la base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique et gérée par ABioDoc. La Biobase contient des références d’articles techniques, issus de revues liées à l’agriculture, à l’agroalimentaire, au développement rural ou à l’environnement, spécialisées ou non en agriculture biologique. Elle comporte également des références d’actes de colloques, d’ouvrages, de brochures, de fiches techniques...
Les étapes de réalisation de cette compilation ont été les suivantes :
Ce document vient en annexes de la compilation bibliographique sur l’autonomie alimentaire dans les élevages biologiques. Elle contient des notices faisant référence à des documents qui diffèrent du document principal par les éléments suivants :
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La poursuite du développement de l’agriculture biologique passe par l’accès à des données technico-économiques régulièrement actualisées et tenant compte des spécificités des territoires.
Face à ce besoin, le Pôle Agriculture Biologique Massif Central et une quinzaine de partenaires conduisent un important programme sur la durabilité et le fonctionnement technico-économique des systèmes d’élevages AB dans le Massif Central : le projet « Analyse du fonctionnement et des performances des systèmes d’élevages agrobiologiques du Massif Central » (dit Projet « Systèmes »).
Quatre filières animales sont concernées ici : les productions laitières bovine et ovine et les productions viande bovine et ovine. A partir de suivis technico-économiques (enquêtes et recueils de données dans 66 fermes certifiées AB), ce travail a pour but :
Dans le cadre de ce projet, l’étude réalisée en 2010 a mis en lumière que l’autonomie alimentaire était un élément clé de la performance technico-économique de ces systèmes d’élevage. Ainsi, un suivi « thématique » concernant l’autonomie alimentaire des élevages de l’échantillon a été réalisé.
Parmi les partenaires de ce projet pluriannuel (2008 à 2013) peuvent être cités (toutes filières confondues) : les Chambres d’agriculture de l’Aveyron, du Cantal, de la Corrèze, de la Creuse, de la Haute-Loire, de la Haute-Vienne, de la Loire, du Lot, de la Lozère, et du Rhône, le SIDAM, VetAgro Sup – Campus de Clermont, l’AVEM, le CETA Herbe au Lait, l’INRA, l’Institut de l’Elevage et ABioDoc.
La recherche bibliographique a été réalisée à partir de la Biobase, la base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique et gérée par ABioDoc. La Biobase contient une majorité d’articles techniques, issus de revues liées à l’agriculture, à l’agroalimentaire, au développement rural ou à l’environnement, spécialisée ou non en agriculture biologique. Elle contient également des actes de colloques, des ouvrages, des brochures, des fiches techniques...
La recherche bibliographique liée à l’autonomie alimentaire dans le cadre du projet « Systèmes» a été conduite en plusieurs étapes. La première a consisté à interroger la Biobase avec l’approche « Autonomie alimentaire ». 135 réponses correspondaient, en août 2012, au mot-clé « autonomie alimentaire », et ont constitué un premier panier.
Afin de prendre en compte tous les aspects de l’autonomie des élevages, d’autres thèmes ont ensuite été recherchés :
Les références obtenues ont été listées une à une, puis classées selon les différentes thématiques qui en ressortaient :
Toutefois, plusieurs de ces thémes peuvent se retrouver dans une même référence. C’est pourquoi il est important que le lecteur ne se focalise pas sur un chapitre mais consulte l’ensemble des données pour s’informer sur le sujet.
La plupart des références concernant les élevages de ruminants, un chapitre spécifique a été créé sur l’autonomie alimentaire dans les élevages de monogastriques.
Enfin, un petit zoom est consacré à l’autonomie des élevages vis-à-vis de la ressource en eau.
Pour chacun des chapitres, les références sont classées par ordre chronologique (du plus récent au plus ancien).
Accès aux documents primaires : Tous les documents cités dans cette bibliographie sont accessibles à ABioDoc et la plupart peuvent être commandés sous forme de photocopies ou empruntés (pour les ouvrages).
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Cette compilation bibliographique sur l’introduction de produits biologiques en Restauration Collective a été réalisée par ABioDoc, le Centre National de Ressources documentaires en Agriculture Biologique, dans le cadre du projet « Développement des filières biologiques du Massif Central pour répondre aux besoins de la restauration collective », porté par le Pôle AB Massif Central.
Elle comprend 291 références bibliographiques (articles, ouvrages, brochures, documents audiovisuels, …) en lien avec la Restauration Collective inscrites dans la base documentaire d’ABioDoc, la Biobase, à la date du 15 mars 2011. Pour chacune de ces références, sont précisés le titre, le ou les auteurs, la date d’édition, la revue de laquelle l’article est issu ou l’éditeur du document, le nombre de pages, ainsi qu’un résumé. Quand il existe, le lien pour un téléchargement sur Internet est également indiqué.
Au sein de chacun de ces grands thèmes, les références sont triées par date d’édition, dans l’ordre anti chronologique (du plus récent au plus ancien).
La plupart des références présentées dans cette liste bibliographique sont disponibles auprès d’ABioDoc (commande de photocopies ou prêt d’ouvrages).
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Cette sélection bibliographique vous est proposée dans le cadre du 12e Séminaire International sur l’agriculture biologique, organisé par l’Agence Bio, le mardi 28 février 2017, à Paris, et intitulé « Les consommateurs de produits bio en Europe et dans le Monde ».
Elle a été réalisée à partir de la Biobase, la seule base de données documentaire francophone spécialisée en agriculture biologique et accessible à l’adresse http://abiodoc.docressources.fr/. La Biobase est gérée par ABioDoc, le Centre national de ressources en agriculture biologique, service de VetAgro Sup et missionné par le ministère de l’Agriculture.
Toutes les références présentes dans la Biobase sur le thème des marchés et de la consommation de produits biologiques ne figurent pas dans cette sélection, et notamment les références portant sur une filière ou un produit spécifique (lait, viande, fruits et légumes, vins, produits surgelés…). Cependant, elles sont librement accessibles sur la Biobase.
Le document est téléchargeable gratuitement sur le site de l’Agence Bio à l’adresse http://www.agencebio.org/seminaire-international et sur le site d’ABioDoc à l’adresse http://www.abiodoc.com/documents-abiodoc/compilations-listes-bibliographiques/marches-consommation-produits-bio-france-monde
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Retrouvez sept compilations bibliographiques sur les alternatives aux intrants litigieux en Agriculture Biologique. Cette sélection de documents a été réalisée au printemps 2018 par ABioDoc, dans le cadre du projet européen Organic-PLUS. Les références bibliographiques qui la composent ont été publiées entre 2010 et 2018. Elles ont été extraites de la Biobase, la base de données documentaires d'ABioDoc.
Les thématiques abordées sont :
La majorité des documents sont en français. Certains d'entre eux sont accessibles en ligne gratuitement (un lien internet est indiqué à la suite de leur résumé). Néanmoins, la plupart des articles ne sont pas accessibles gratuitement. Si vous souhaitez obtenir un document payant, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : abiodoc [at] educagri [dot] fr.
Liste des compilations bibliographiques : |
Retrouvez dans cette section les annuaires et guides édités par ABioDoc :
Afin de faciliter les échanges entre les acteurs français et européens de l’agriculture biologique, ABioDoc, le Centre National de Ressources en Agriculture Biologique, a réalisé un inventaire des organismes européens qui œuvrent dans les domaines de la recherche, de la formation, du conseil, du développement ou encore de la certification au sein du continent européen. Cet annuaire des organismes européens de la bio est un atout indéniable pour repérer les structures qui interviennent dans l’AB au sein des différents pays d’Europe (membres ou non de l’Union Européenne) et pour connaître leurs activités principales et leurs coordonnées. Il présente 474 organismes répartis dans 41 pays. Pour chaque pays européen, un résumé de la situation nationale de l’AB est présenté, avec notamment un bref historique, les principaux chiffres, le marché et la structuration de la filière. Les organismes français ne figurent pas dans la liste et font l’objet d’un autre document (le Guide des principaux organismes français intervenant en agriculture biologique).
Nombre de pages : 216
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Afin d'aider les agriculteurs ou les artisans désirant développer une activité de transformation de produits biologiques, ABioDoc a réalisé, avec l' appui de deux étudiantes de l'Enita et de la société Ecozept, un guide expliquant les démarches à entreprendre, avec de nombreux contacts, tant dans le domaine de l'agriculture biologique que de l'activité de transformation en général.
En effet, la création d'une activité de transformation, même de taille modeste, est complexe et requiert une préparation rigoureuse pour assurer le succès de son produit. Les produits issus de l'agriculture biologique doivent de surcroît respecter la réglementation spécifique à ce mode de production. Ainsi, les opérateurs de produits biologiques doivent non seulement appliquer les démarches similaires à tous les transformateurs mais également approfondir les aspects réglementaires spécifiques.
Ce guide a pour ambition d'aider les futurs transformateurs dans leur préparation, en leur indiquant les différentes étapes à suivre et les points à ne pas négliger, ainsi que les contacts susceptibles de les aider. Il aborde notamment la réglementation (contrôle, étiquetage...), l'étude de marché, le plan marketing, les moyens, la structure juridique et la rédaction du plan d'affaires.
Ce guide est destiné à celles et ceux qui souhaitent développer une activité de transformation de produits agroalimentaires issus de l'agriculture biologique en petite ou très petite entreprise : agriculteur, entreprise familiale, artisan... . Il s'adresse autant à ceux qui ont déjà une entreprise qu'à ceux qui souhaitent en créer une et comprend donc des rubriques spécifiques à la création d'entreprise.
nombre de pages : 34 p.- Prix format papier : 15 € - Prix format électronique : Gratuit
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Ce guide, à destination des agriculteurs, des enseignants, des étudiants, des techniciens et de toutes personnes recherchant des informations sur les organismes français intervenant en agriculture biologique, présente 39 organismes. Classés selon leurs principaux domaines d’intervention et leurs statuts, on y retrouve des administrations et GIP, des organismes de recherche et expérimentation, de formation, de documentation, de développement et d’organisation de la filière, des associations gestionnaires de marques privées et des organismes certificateurs. Pour chacun d’entre eux, figurent les coordonnées, le statut, l’historique, les finalités et missions, l’organisation de la structure (zone d’intervention, moyens humains et matériels, partenaires) et les actions ou réalisations en faveur de l’agriculture biologique.
Nombre de pages : 126 p.
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Ce guide est le fruit à la fois d’une étude bibliographique sur les effets bénéfiques de l’agriculture biologique à l’échelle d’un territoire ainsi que d’un recensement des expériences initiées par des élus visant au développement de ce mode de production. Sa réalisation a été engagée par ABioDoc, le Centre National de Ressources en Agriculture Biologique dans le cadre du projet du Pôle AB Massif Central sur le "développement des filières biologiques du Massif pour répondre aux besoins de la restauration
collective".
Ce document est destiné aux élus des collectivités territoriales et de territoires tels que les communautés de communes, d’agglomération, les Pays, les Parcs Naturels Régionaux qui souhaitent aborder dans leur politique locale la question d’une agriculture durable et faire émerger des projets répondant aux enjeux qui lui sont liés.
Ce guide a pour vocation d’être une source d’information sur les intérêts de l’agriculture biologique afin de contribuer au développement d’une agriculture de demain centrée sur le respect de l’Homme, de la nature et sur les territoires. Il est aussi un recueil d’expériences permettant de porter à connaissance des initiatives. Plus précisément, il s’agit de mettre en exergue l’origine des démarches, leur mise en place mais aussi leurs facteurs de réussite et les freins qu’elles ont rencontrés. Ainsi, ce recueil permettra de bâtir ou d’approfondir une réflexion pour aller plus loin et faire éclore de nouvelles initiatives.
Il est constitué de 6 parties :
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… dans votre cadre d’activité (enseignement ou formation, conseil agricole, suivi de l’actualité, etc.). Dans votre structure, vous êtes peut-être le référent bio et vous devez répondre à de nombreuses questions.
Vous souhaitez aussi amplifier la diffusion des documents que vous produisez (fiches techniques, synthèses, vidéos, plaquettes…).
Et vous souhaitez améliorer la situation !
Ce guide est là pour vous aider.
En effet, ce guide a pour objectif de vous indiquer comment améliorer le transfert de vos informations et comment renforcer votre accès et celui de votre réseau, aux connaissances liées à l’AB. Ce guide a pour objectif de favoriser le transfert d’informations et de connaissances entre structures bio en détaillant de façon concrète les articulations à envisager notamment entre des personnes relais et ABioDoc.
À titre d’illustration, ces personnes relais peuvent transmettre l’information (dates d’évènementiels, formations…) et les connaissances (article, vidéo, ouvrage, résultat d’expérimentation…) issues de leur structure ou de leur territoire vers ABioDoc et inversement diffuser les données issues d’ABioDoc. Elles ont ainsi la possibilité de relayer le Biopresse, les infolettres thématiques… auprès de leurs adhérents ou partenaires. Ces personnes relais peuvent également regrouper les demandes de prêts d’ouvrage ou de photocopies pour ABioDoc, organiser des formations collectives sur la Biobase, etc.
Ce guide a été réalisé au départ dans lecadre du projet BioTransfert, porté par le Pôle Agriculture biologique Massif Centralet qui visait à renforcer la gestion des connaissances liées à l’agriculture biologique à l’échelle du Massif Central en développant un réseau et des outils spécifiques liés aux TIC.
Le projet BioTransfert(2014), à l’origine de ce guide, était financé dans le cadre de la convention liée au Commissariat général lié à l’égalité des territoires du Massif Central, avec des fonds européen FEDER et des fonds du Conseil Régional d’Auvergne.
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Cette série de Mémentos a été réalisée dans le cadre du programme de recherche-développement BioTransfert.
Ce projet est porté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central, association créée en 1998, dont l’objectif général est l’appui au développement de l’agriculture biologique (AB), en priorité sur le Massif Central, par la recherche-développement.
Le Pôle ABMC est une association « tête de réseau », avec trois domaines d’actions :
1. L’animation d’un réseau (plus de 60 structures) et la concertation ;
2. La formulation, la coordination et la gestion de programmes de recherche-développement en AB ;
3. La valorisation ou la diffusion des résultats de ses projets.
Objectif : Le Pôle AB MC et ABioDoc ont mené, en 2014, ce programme pilote afin d’améliorer la gestion (stockage et diffusion) des connaissances et des informations en agriculture biologique sur le Massif Central, et ainsi leur accès pour les différents acteurs intéressés par l’AB, et ce de façon durable.
Méthode : Afin d’associer de nombreux personnes et de trouver des solutions de façon collective, plusieurs réunions ont été organisées dans cinq des régions du Massif Central, pendant lesquelles les groupes ont travaillé sur l’organisation des acteurs et le développement ou le renforcement des outils qui amélioreraient cette organisation.
Résultats : Concernant le stockage, face à la diversité des outils et process et afin de mettre en lien les divers espaces de stockage existants, les échanges ont abouti à un consensus des acteurs pour renforcer la place d’ABioDoc en tant qu’acteur centralisateur du stockage des connaissances en AB et pour améliorer le travail avec cette structure (remontées des informations, utilisation des outils existants, création de nouveaux outils…). C’est dans ce contexte qu’ont été rédigés ces mémentos, afin de consolider les compétences des acteurs pour la gestion documentaire et de leur faciliter l’utilisation de la Biobase.
Par ailleurs, une organisation a été envisagée autour de personnes et de structures relais. Un guide a été créé à destination des personnes relais pour les aider à optimiser la collecte et le stockage des connaissances.
Concernant la diffusion des connaissances, le Pôle AB MC a mis en place un portail web Massif Central (Bio & Clic) sur un serveur dédié qui regroupe différents outils de diffusion.
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Retrouvez dans cette section les synthèses et rapports édités par ABioDoc :
Cette synthèse a été réalisée dans le cadre du projet Restauration Hors Domicile (RHD) du Pôle Agriculture Biologique Massif Central. Elle vise à évaluer des méthodes de comparaison de l'impact environnemental des approvisionnements de RHD en produits biologiques et conventionnels, issus de circuits courts ou longs. Une recherche bibliographique a permis de cibler les outils adaptés aux produits agricoles et alimentaires : le Bilan Carbone, la méthode de l'Empreinte Ecologique, l'Analyse du Cycle de Vie, et l'Eco-Indicateur 99. Chacun de ces outils est présenté, avec un exposé de ses principes, des méthodes de calcul, et un point sur les données et études existantes. Tous ces outils sont relativement complexes et chaque étude est longue à réaliser. Si les circuits courts / longs pourraient être comparés grâce à l'ensemble d'entre eux, il est encore difficile de comparer les produits issus de filières biologiques ou conventionnelles. Le projet ACV Bio, lancé en 2009 par différents partenaires (BIO Intelligence Service, UR INRA-ALISS, Synabio, Casino, Triballat, La Vie Claire, Pronatura et Biocoop) devrait fournir des données intéressantes.
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Le Brésil est un pays caractérisé par des zones pédoclimatiques et socio-économiques différentes qui ont engendré une diversité de productions agricoles et de systèmes de production, de l’agriculture familiale à l’agriculture intensive issue de la révolution verte. Dans ce contexte, l’agriculture biologique s’est faite peu à peu une place et a réellement émergé dans les années 70. Ce document présente l’évolution des pratiques, les productions, la réglementation en vigueur, les processus de certification et les programmes de développement relatifs à l’agriculture biologique au Brésil.
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Le foncier agricole est soumis à diverses pressions : urbanisation, abandon, mitage… qui conduisent à une inquiétude grandissante des acteurs du monde agricole face à la diminution de leur espace de travail. En effet, en France, ce serait l’équivalent de la surface d’un département qui perdrait son usage agricole tous les sept ans.
Pour les candidats à l’installation, trouver du foncier est la première et la principale difficulté, les recherches pouvant prendre de quelques mois à plusieurs années. Les porteurs de projet hors cadre familial, soit 30 % des candidats de moins de 40 ans, sont les plus touchés. Ce sont ceux-là même qui portent des projets d’agriculture diversifiée, de proximité (tournés vers les circuits courts) ou engagés dans des pratiques plus respectueuses de l’environnement (agriculture biologique notamment).
La prise de conscience face à cette problématique a conduit à la multiplication des initiatives destinées à préserver et à transmettre le foncier agricole. Des outils réglementaires spécifiques ont notamment été créés (via les lois Grenelle, la loi de Modernisation de l’Agriculture…). Ceux-ci ont fait l’objet de quelques initiatives présentées dans cette synthèse. D’autres types d’expériences, portées par les agriculteurs et/ou les citoyens, voient aussi le jour.
Toutefois, toutes ces démarches sont encore ponctuelles et semblent relativement indépendantes les unes des autres, avec la mobilisation d’acteurs et d’outils variés. De plus, leur appropriation par les acteurs de terrain est encore rare.
Concernant la restauration collective et l’agriculture biologique, les objectifs fixés pour 2012 à l’occasion du Grenelle de l’environnement n’auront pas été atteints (20 % de denrées alimentaires biologiques dans les services de restauration de l’Etat), les difficultés d’approvisionnement étant citées comme un problème majeur. Dans ce contexte, une production agricole locale peut être une solution. Pourtant, celle-ci est aujourd'hui menacée, notamment en zones périurbaines, là où les besoins sont les plus forts.
Face à cet enjeu, cette synthèse réalisée par ABioDoc permet de faire un point sur la situation du foncier agricole en France, sur les mécanismes économiques et réglementaires qui entrent en jeu, et sur les principaux acteurs du foncier. Des initiatives mises en place pour la préservation du foncier agricole sont présentées. Elles concernent un panel varié d’acteurs et mobilisent divers outils.
Essentiellement bibliographique, et complété par des échanges avec des acteurs du foncier à l’occasion d’évènements (salons agricoles, rencontres Terre de Liens, colloque), ce travail a permis de mettre en évidence la diversité des expériences, et d’identifier les principaux points de blocage et/ou de vigilance ainsi que les facteurs de réussite de celles-ci.
Ce travail a été réalisé dans le cadre du projet « Développement des filières biologiques du Massif Central pour répondre aux besoins de la restauration collective », porté par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central et qui s’inscrit en complément des actions engagées au niveau de chaque région ou département.
Programmé jusqu’en 2013, ce projet regroupe ABioDoc - VetAgro Sup, AgriBioArdèche, l’APABA, l’ARDAB, Auvergne Biologique, Bio 82, le SEDARB, LotABné, Inter Bio Limousin, Sud et Bio, l’EPL de Limoges, l’ISARA, le Lycée de Naves, ainsi que les plateformes Auvergne Bio Distribution, BioAPro et Manger Bio Limousin.
Version papier : 20 € (Contacter l'ABioDoc)
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Document réalisé dans le cadre du projet Mélibio, coordonné par le Pôle Agriculture Biologique Massif Central.
Cette synthèse bibliographique a pour objectif de recueillir l’ensemble des données et expériences relatives à l’utilisation de céréales immatures, seules ou en mélange (appelées alors associations céréales-protéagineux ou méteil). A partir d’expériences de chercheurs, de techniciens ou encore d’agriculteurs, elle présente les intérêts mais aussi les inconvénients de telles pratiques, les itinéraires techniques pouvant être mis en place et l’utilisation de ce type de fourrage dans les troupeaux.
Une partie des références collectées et utilisées dans cette synthèse sont issues de l’agriculture conventionnelle. Toutefois, cette synthèse se situe bien dans un contexte d’agriculture biologique. A noter que les mélanges céréales-protéagineux, largement abordés dans cette synthèse, sont utilisés depuis longtemps en agrobiologie.
Face aux aléas climatiques, avec notamment les sécheresses à répétition, et au contexte économique fluctuant, avec des prix des aliments très variables, les éleveurs cherchent à sécuriser au maximum leur système fourrager. Dans ce contexte, la récolte de céréales ou mélanges céréales-protéagineux immatures pour constituer un fourrage d’appoint pourrait représenter une solution intéressante. A travers cette synthèse bibliographique, ABioDoc a recueilli les données concernant ce type de pratiques : intérêts et limites, itinéraires techniques possibles, intérêts zootechniques…
Pour commander la synthèse en version papier (10€) veuillez vous adresser à abiodoc [at] educagri [dot] fr (subject: Commande%20de%20la%20synth%C3%A8se%20Les%20c%C3%A9r%C3%A9ales%20immatures) (ABioDoc).
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Dans le cadre du projet européen Organic-PLUS (https://organic-plus.net) ABioDoc-VetAgro Sup (en coordination avec le service DAFNAE de l’université de Padoue, responsable du volet élevage de ce projet) a participé à une enquête sur l’utilisation d’intrants litigieux dans les élevages biologiques français (antibiotiques, antiparasitaires, paille conventionnelle, vitamines synthétiques…)
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L’introduction de produits biologiques en restauration collective a vu le jour en 1993, avec l’opération « Manger Bio » organisée par le CIVAM du Gard. D’abord ponctuelles, ces initiatives se sont multipliées, jusqu’à connaître un réel essor à partir de 2006. Cette évolution a été notamment encouragée par le Grenelle de l’Environnement en 2007, dont un des axes d’actions pour favoriser l’agriculture biologique est d’introduire des produits biologiques dans la restauration collective. La circulaire du 2 mai 2008 relative à l’exemplarité de l’Etat fixe pour objectif l’introduction de 20 % de denrées biologiques en 2012 dans les services de restauration collective de l’Etat et sous tutelle de l’Etat (restaurants administratifs, restauration hospitalière, restauration universitaire et secteur pénitentiaire). Par ailleurs, on note une réelle demande de la part des convives et des parents d’élèves pour introduire des produits biologiques en restauration collective.
Si quelques collectivités ont fait le choix de passer à des repas 100 % biologiques, la majorité ont choisi d’introduire des ingrédients de manière progressive. Les produits biologiques les plus introduits sont, dans l’ordre décroissant, les fruits, les produits laitiers et les légumes, les produits d’épicerie, la volaille fraîche puis les autres viandes en frais (Agence Bio, 2010).
La viande semble difficile à introduire en restauration collective. Du point de vue des collectivités, le problème majeur réside dans le surcoût à l’achat, et dans les difficultés d’approvisionnement. Du côté des producteurs, le marché de la restauration collective apparaît instable, et, du fait des morceaux et des volumes demandés, il rend difficile le respect de l’équilibre matière. Par ailleurs, la restauration collective est un marché particulier qui a des attentes et des contraintes à respecter.
Face à cet enjeu, ABioDoc a proposé de faire un point sur les initiatives d’introduction de la viande biologique en France. Essentiellement bibliographique, ce travail a permis de comprendre les principaux freins à l’introduction de viande biologique en restauration collective et de relever les principales initiatives qui ont vu le jour. Complété par des entretiens téléphoniques, il a permis d’identifier les leviers mis en oeuvre pour la réalisation d’expériences réussies.
Ce travail a été réalisé dans le cadre du projet « Développement des filières biologiques du Massif Central pour répondre aux besoins de la restauration collective », porté par le Pôle AB Massif Central, et qui s’inscrit en complément des actions engagées au niveau de chaque région ou département.
Programmé jusqu’en 2013, ce projet regroupe ABioDoc, AgriBioArdèche, l’APABA, l’ARDAB, Auvergne Biologique, le CFPPA des Vaseix, le GABLIM, et le SEDARB, en partenariat avec Auvergne Bio Distribution, BioAPro, Manger Bio Limousin et la FRAB Languedoc Roussillon.
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Des agriculteurs bio de la région Aura ont témoigné sur leurs pratiques dans le cadre du projet européen Organic-PLUS
Au printemps 2020, ABioDoc a demandé à quatre étudiants de la Licence Professionnelle ABCD (Agriculture Biologique, Conseil et Développement) de Clermont-Ferrand de réaliser des enquêtes sur des fermes biologiques dites « remarquables », c’est-à-dire des fermes qui utilisent peu ou pas d’intrants considérés comme controversés en AB. L’objectif était de recueillir des données sur les alternatives mises en place par ces agriculteurs (données techniques, technico-économiques et durabilité de ces alternatives). Ce travail a été réalisé dans le cadre du projet européen Organic-PLUS
Ces enquêtes ont conduit à l’élaboration de 3 brochures : deux sur des fermes maraîchères bio et une sur une ferme laitière bio, toutes basées en Auvergne-Rhône-Alpes. Elles fournissent le témoignage des producteurs et expliquent comment ces derniers ont réussi à inscrire des méthodes alternatives dans leur système de production :
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Ces documents ont également été traduits en anglais / These documents were also translated into English
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ABioDoc a souhaité identifier les conditions de mise enplace d’un centre de ressources (CDR) documentaires sur l’AB en Afrique francophone
Cette action fait partie d’un projet de recherche et développement auquel participe VetAgro Sup, dans le cadre de l’UCGH (groupe international d’universités travaillant sur la santé globale). Ce projet est financé via le soutien aux coopérations universitaires et scientifiques internationales de la région Auvergne-Rhône-Alpes. L’objectif est de créer un dispositif de veille et de collecte de documents intéressants pour l’agriculture biologique en Afrique, d’organisation et de capitalisation de ces documents puis de diffusion. Une mission a eu lieu fin mars 2019 au Sénégal, qui a permis de rencontrer les acteurs de l’agriculture biologique (durable, écologique) et d’établir un diagnostic de la situation liée aux CDR.
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Retrouvez dans cette section les événements auxquels ABioDoc s'est associé :
Le samedi 7 juillet, a lieu la « Fête de la Bio… diversité ! » à Florac (Lozère). Au menu de la journée : Conférences, animations, ateliers, marché de producteurs bio... Parmi les conférences proposées, ABioDoc intervient sur le thème : « Décryptage, C’est quoi la bio ? ».
Retrouvez le programme => Flyer_fete_bio_4pA5_2018.pdf
Ainsi, que l'intervention de Sophie Valleix pour ABioDoc
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Notre assiette, c’est un tiers des émissions de gaz à effet de serre, soit trois fois celles des voitures particulières. Cet impact de l’agriculture et de l’alimentation sur le changement climatique était le sujet du colloque « Agriculture biologique et changement climatique », co-organisé par l’Enita Clermont, ABioDoc et l’AsAFI les 17 et 18 avril
2008, à l’Enita de Clermont- Ferrand. Il a rassemblé les meilleurs spécialistes du sujet avec 224 professionnels et scientifiques du monde entier.
« Nous avons été surpris que ce soient les français qui organisent un tel colloque », nous a confié un scientifique autrichien. « Nous pensions que ce serait les allemands, les suisses ou les danois et, tout à coup, nous avons reçu une invitation des français pour cette rencontre sur l’agriculture biologique et le changement climatique ». Eh bien oui, pour une fois la France a été pionnière sur cette thématique d’actualité en organisant cet évènement, auquel ont participé avec enthousiasme de nombreux professionnels et scientifiques provenant de plus de 20 pays.
Chacun sait que la thématique du changement climatique est cruciale. Etonnamment, comme l’a fait remarquer Nadia Scialabba, représentante de la FAO, les rencontres organisées jusqu’à présent à l’échelle mondiale sur le changement climatique s’intéressent rarement à l’agriculture en dépit de sa contribution majeure et presque toujours sous-estimée au réchauffement de la planète.
Ce colloque a confirmé que l’agriculture biologique émet moins de gaz à effet de serre que l’agriculture conventionnelle par unité de surface, pour plusieurs raisons : pas d’utilisation d’engrais chimiques, dont la fabrication est grosse consommatrice d’énergie, moins d’émissions de protoxyde d’azote (N2O), les apports d’azote étant inférieurs et celui fixé par les légumineuses émettant beaucoup moins de N2O que celui contenu dans les fertilisants, séquestration de carbone en moyenne plus importante. A l’échelle de la planète, il est apparu que le potentiel de séquestration du carbone dans le sol avec des pratiques agricoles écologiques est considérable, alors qu’il n’est pas pris en compte dans les bilans carbone du GIEC.
Un autre enseignement de ce colloque est le grand potentiel de réduction des émissions de gaz à effet de serre aussi bien en agriculture biologique qu’en agriculture conventionnelle par la généralisation de techniques telles que le compostage, l’augmentation de la part des légumineuses dans la rotation, une meilleure gestion des apports d’azote, l’augmentation des surfaces en prairies.
L’importance de la prise en compte de l’ensemble de la filière et de nos habitudes alimentaires est également apparue essentielle. Transport, industries alimentaires et
distribution sont en effet d’importantes sources d’émissions de CO2. Selon l’Ifen (Institut français de l’environnement), nos déplacements en voiture pour aller faire nos courses alimentaires sont responsables à elles seules de 11% des émissions de gaz à effet de serre de l’ensemble de la filière agroalimentaire !
L’impact important de nos choix en tant que consommateurs a également été souligné : l’achat de produits de contre-saison venus par avion, suremballés, prêts à consommer, et plus encore la surconsommation de viande, surtout lorsqu’il s’agit de veau ou de boeuf provenant d’élevages industriels. Lorsque nous mangeons ce type de viande, non seulement nous émettons nettement plus de gaz à effet de serre qu’en consommant la même quantité de protéines sous forme de lentilles ou de pois chiches, mais nous contribuons à la déforestation en Amazonie, qui vise principalement à produire de la viande, ou encore du soja pour nourrir – entre autres - les vaches françaises.
Les différentes contributions à ce colloque ont également permis de mettre en évidence la multiplicité des méthodes et la nécessité d’une approche globale. Face à cette complexité, pour Niels Halberg, chercheur danois, vouloir faire converger environnement, bien-être animal, santé, nutrition, fertilité des sols et réduction des gaz à effet de serre amène à considérer l’agriculture biologique comme une solution devant être favorisée. Pour reprendre une des conclusions de la dernière table ronde : « Est-ce que l’agriculture biologique peut résoudre tous les problèmes, notamment concernant le changement climatique ? Assurément, non, mais c’est ce qu’on a de mieux ! »
Voici les différent thèmes traités lors du colloque:
Conclusion de l'intervention de J.F. SOUSSANA (Unité de Recherche sur l’Ecosystème Prairial, INRA, Clermont-Ferrand) et P. CELLIER (Environnement et Grandes Cultures, INRA Grignon) :
Les émissions actuelles de GES liées à l’agriculture pourraient augmenter rapidement à l’avenir du fait de la croissance de la population mondiale et des
changements des modes de consommation alimentaire (augmentation de la consommation de protéines animales).
- Si il existe un potentiel technique important de réduction des émissions nettes de GES, principalement grâce à une séquestration accrue de carbone dans les sols, le
potentiel réalisable compte tenu des contraintes socio-économiques est nettement
plus faible.
- De plus, une partie du carbone stocké dans les sols risque d’être perdue du fait d’une augmentation de la variabilité et des extrêmes climatiques.
- Il est donc important de considérer toutes les voies possibles de réduction des émissions et notamment la réduction de la consommation d’intrants, celle-ci entraînant des émissions importantes dans d’autres secteurs (industrie, transports, déforestation…).
-Des synergies entre adaptation de l’agriculture au changement climatique et réduction des émissions de gaz à effet de serre peuvent être trouvées. Stocker du carbone dans les sols agricoles, augmenter l’efficience d’utilisation des nutriments et de l’eau constituent des buts communs pour l’adaptation au changement climatique et pour la lutte contre l’effet de serre.
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Intervention de N. HALBERG (Danemark) Danish Research Centre for Organic Food and Farming (DARCOF)
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Intervention de Paul HEPPERLY, New Farm Research Manager, the Rodale Institute (USA).
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Intervention de J. OLESEN, Danish Institute of agriculture science (Danemark).
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Intervention de A. FLIESSBACH, Forschungsinstitut für Biologischen Landbau -FIBL- (Suisse).
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Intervention de T. NEMECEK, Agroscope Reckenholz-Tänikon Research Station ART- Zurich (Suisse).
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Intervention de J. MOUSSET, ADEME (France).
Conclusion de l'intervention:
- Un potentiel important de réduction des émissions de GES à court terme …mais insuffisant à moyen terme
- Des interactions complexes… Privilégier des approches systèmes
- Privilégier la recherche d ’une diversité de solutions
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Intervention de S. HACALA, Institut de l'Elevage (France).
Intervention de G. AZEEZ, Soil Association (Royaume-Uni).
Intervention de J.L. BOCHU, SOLAGRO (France) et B. RISOUD, ENESA Dijon (FRANCE).
En AB, les actions portent souvent sur les énergies directes plutôt que sur les
énergies indirectes car forte autonomie technique :
- En alimentation du bétail
- En fertilisation organiques
Economie d’énergies directes envisageables :
- carburants des tracteurs et automoteurs : conduite - réglage – entretien; BEM; itinéraires techniques cultures; organisation chantiers – aménagement bâtiments; adéquation puissance – travaux
- électricité : tank à lait, eau chaude sanitaire, irrigation …
Actions souvent plus difficiles à mettre en oeuvre car :
- volumes souvent faibles
- systèmes à bas niveau d’intrants
Nuancées sur les résultats :
- Faibles consommations par unité de surface ->faible pression environnementale
- Efficacité énergétique variable :
- Pas mieux en productions végétales, en viandes
- En lait, semble meilleure pour l’énergie mais pas forcément pour les émissions de GES
Grande diversité des pratiques en AB comme en conventionnel -> marges de progrès intrinsèque dans toutes les productions
Efficacité et émissions GES : peuvent être pénalisées par le rendement en AB
Marges de progrès :
- Pour améliorer la consommation d’énergie : actions sur le fioul, sur l’électricité
- Pour améliorer l’efficacité énergétique : réflexion sur le rendement, la production
Limites :
- Diversité géographique (sol, climat, rendement) -> développer les bilans (locaux) pour mieux cerner ces paramètres
- Tenir compte du stockage de carbone (prairies, matières organiques)
- Mixité / complémentarité des productions végétales et animales en AB :
- Une nécessité fréquente en AB
- Une difficulté de l’analyse de ces systèmes par méconnaissance de la répartition entre ateliers
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Intervention de H. PAULSEN, Institute of Organic Farming in the Johann Heinrich von Thünen-Institute (vTI),Federal Research Institute for Rural Areas, Forestry and Fisheries (Allemagne).
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Intervention de B. FREYER, Institute of Organic Farming, University BOKU, Vienna. (Autriche).
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Intervention de Y. LOERINCIK, ecointesys - life cycle systems. (Suisse).
Conclusion:
- Energie primaire non-renouvelable principalement liée à l’affouragement, aux engrais et au carburant;
- Les infrastructures et les machines jouent un rôle important;
- Le méthane domine l’effet de serre;
- Le rendement est un paramètre important;
- La production extensive et biologique réduisent légèrement la consommation d’énergie et les GES;
- La production biologique génère plus d’acidification et d’eutrophisation, mais sur une surface plus grande.
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Intervention de G. AZEEZ, Soil Association (Royaume-Uni).
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Intervention de C. BROCK, German Federal Agency for Agriculture and Food, (Allemagne).
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Intervention de J. CASTRO, CEDECO, (Costa Rica).
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Intervention de S. PALIT et B.C. GHOSH, (Inde).
Intervention de J. PEGNE ET J.F. VIAN, ISARA Lyon (France).
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Intervention de E. TRIBOI, INRA, (France).
Réalité ou Utopie?
- Réalité: L’autonomie en N est réalisable. Le remplacement du Nsynthétique par N-symbiotique permet la réalisation d’un mode de production durable et une diminution conséquente de CO2. De plus, en introduisant du tournesol ou du colza dans la rotation on peut assurer à la fois une autonomie énergétique (~ 1ha / tracteur) et une
source supplémentaire de N-tourteaux (>100kgN/ha)
- Utopie: Si l’efficacité financière immédiate est prioritaire à la durabilité du système, car la politique agricole n’encourage pas la gestion à long terme.
- Communiquer! Des résultats existent!
- PRD: expérimentation + modélisation; Evaluation multicritères!
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Intervention de S. HANSEN, Bioforsk Organic Food and Farming Division (Norvège).
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Intervention de R.M. REES, SAC Edinburgh (Ecosse).
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Intervention de J. PEIGNE, ISARA Lyon (France).
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Intervention de D. LYNCH, Nova Scotia Agricultural College (Canada).
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Intervention de P. ROCHETTE, AAFC, Sainte-Foy (Canada).
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Intervention de E. PATTEY, Agriculture et Agroalimentaire (Canada).
Conclusions:
Les réductions des émissions de GES attribuables à plusieurs scénarios d’atténuation ont été estimées à partir des données extrapolées pour le Canada:
- Une réduction de 0,79 Tg d’éq-CO2 an-1 pourrait être réalisée en compostant, au moyen du système d’aération passive par andains, l’ensemble du fumier entreposé sous forme liquide et en tas au Canada. Le compostage n’entraînant qu’une petite hausse des coûts (pour l’acquisition des tubes perforés, par exemple) si la technique décrite ci-dessus était adoptée puisque aucune opération de ventilation mécanique n’est requise.
- Une autre solution d’atténuation consiste à recueillir et à brûler le CH4 émis par les installations existantes d’entreposage du fumier sous forme liquide. Cette solution se traduirait par une réduction de 0,83 Tg d’éq-CO2 an-1. Si l’ensemble du fumier de bovins entreposé dans des installations telles que celles décrites dans la présente étude était plutôt entreposé sous forme liquide et que le CH4 ainsi produit était recueilli et brûlé, une réduction de 1,18 Tg d’éq-CO2 an-1 pourrait être réalisée. La collecte et la combustion du CH4 sur les fermes nécessitent des investissements additionnels, lesquels pourraient cependant être atténués partiellement grâce aux économies d’énergie ainsi réalisées. (Martin, 2003; Engler et coll., 2003).
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Intervention de A. RIEDACKER et S. MIGLIORE, INRA Ivry Paris (France).
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Intervention de A. NAQVI (Suisse)
Intervention de B. REDLINGSHÖFER, Mission Environnement-Société de l’INRA (France).
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Intervention de B. FREYER, Institute of Organic Farming, University BOKU, Vienna. (Autriche).
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Intervention de M. CAPITAINE, AFOS-ENITA Clermont (France).
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Intervention de J.M. LEGAVE, INRA, UMR Développement et Amélioration des Plantes (France).
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Intervention de J.M. LUSSON.
Intervention de P. PANDE, Senior Technical Expert, Sustainet Project, GTZ, New Delhi (Inde).
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Animateur S. BELLON, CIAB (France).
Clôture du colloque par V. GITZ, conseiller technique développement durable et recherche, Cabinet du Ministre de l'Agriculture et de la Pêche.
Synthèse réalisée par C. AUBERT dans la cadre du colloque DinAbio (19 - 20 mai 2008 à Montpellier).
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Le colloque s'est tenu le 18 octobre 2012.
Retrouvez tous les détails sur la page du Colloque : du bio en restauration collective, c'est possible !
La journée technique autonomie a eu lieu le 12 septembre 2012 sur le thème "L’autonomie alimentaire en questions en élevages biologique".
Retrouvez tous les détails sur la page de la journée technique autonomie 2012